Qui sommes-nous?

L'Institut Gnostique d'Anthropologie Samael et Litelantes est l'organisme de diffusion de l'enseignement gnostique reporté à la lumière par les fondateurs, les V.V. M.M. Samael Aun Weor et Litelantes.
L'Institut Gnostique d'Anthropologie Samael et Litelantes est une association sans but lucratif, il travaille exclusivement afin que toute personne, quelque soit le niveau social ou culturel, l'âge, le sexe, la race ou la croyance, puisse bénéficier de ces enseignements.
Le but de l'Institut Gnostique d'Anthropologie Samael et Litelantes est d'aider tous les êtres humains intéressés à leur développement spirituel, moral, culturel, intellectuel et physique, en se basant sur un équilibre entre théorie et pratique. L'Institut Gnostique d'Anthropologie Samael et Litelantes organise régulièrement des conférences publiques afin de faire connaître ses activités.

Certaines personnes nous ont fait part de leur crainte que nous soyons une secte.
Il est vrai que par les temps qui courent, vu les aberrations, il est normal et bon de se méfier mais il est préférable se baser sur les faits réels et non sur les on-dit.
Ce qu’on reproche en général aux sectes :
- de soutirer de l’argent aux personnes : en ce qui nous concerne, nous « soutirons » :-) 3 Euros par cours et par personne pour couvrir une partie des frais d’électricité et de chauffage !
- d’exercer une manipulation mentale : pour notre part, la philosophie que nous suivons et enseignons est que chaque personne crée son propre destin, doit prendre ses propres responsabilités (et non celles des autres !) et utilise son libre arbitre à sa guise sachant qu’elle en tirera les conséquences, bonnes ou mauvaises, selon la façon d’agir.
- de séquestrer les personnes ou de les empêcher de quitter le groupe : franchement, la porte de sortie est la même que la porte d’entrée. Celui qui n’éprouve plus d’intérêt pour les cours, peut les interrompre du jour au lendemain : il suffit qu’il nous prévienne (question de savoir-vivre) pour nous éviter de l’attendre pour commencer le cours ! Le temps est précieux pour tout le monde et il est inutile que nous et vous le perdions…
Le « Rapport de l’Enquête parlementaire » belge rédigé en 1996, ne pouvant pas nous cataloguer comme secte selon les critères ci-dessus, nous a donc reproché ce qui suit :
L’IGA se définit comme “une association fraternelle d’individus qui aspirent à la découverte et à la transformation d’eux-mêmes dans leurs relations avec les autres”.
Le mouvement enseigne le “dédoublement astral” et l’“annihilation de l’ego”. Il serait peut être susceptible de recourir à des techniques de manipulation mentale.
… (Sic).
On nous a donc reproché :
- d’essayer de nous découvrir et d’améliorer nos relations avec nous-mêmes et avec les autres ! ;
- d’enseigner le dédoublement astral (en réalité, il s’agit d’analyser et vivre de façon consciente les phénomènes qui se passent durant notre sommeil, nos rêves, etc. ) et l’annihilation de l’égo (nous enseignons la méthode pour étudier nos défauts et nous en débarrasser, étant la cause de toutes nos tensions, décisions erronées et souffrances) ;
- que notre mouvement serait peut être susceptible de recourir à des techniques de manipulation mentale : serait et peut être : un conditionnel et une supposition : une affirmation plutôt incertaine pour cataloguer qui que ce soit de secte, non ? En réalité, ce que les personnes qui ont rédigé ce rapport n’ont probablement pas compris, c’est que nous enseignons à maîtriser notre mental qui, comme tout un chacun peut l’avoir remarqué, est source de pensées inutiles, préoccupations, angoisses, peurs ; bref : source de mal être. Nous essayons de transmettre l’idée qu’il vaut bien mieux apprendre à vivre le moment présent d’une façon responsable que dans la préoccupation du lendemain (ce qui en général nous empêche de prendre des décisions correctes et sereines) mais ce qui nous en empêche, c’est notre mental que nous n’avons pas éduqué, qui nous dérange comme un enfant mal élevé qui veut semer la zizanie.

Voilà, nous espérons avoir été clairs. Si cependant il vous reste des doutes, des questions, n’hésitez pas à nous contacter : 

Pour nous écrire